Est-ce à dire, en terminant, que le Cid soit une chose parfaite ? Je ne le crois pas, et s’il n’est pas douteux qu’il doive éternellement demeurer l’un des chefs-d’œuvre de la scène française, le mot de La Bruyère n’a cependant pas perdu toute vérité : que l’une des meilleures critiques que l’on ait faites est celle du Cid. Ferdinand Brunetière, Conférences de l’Odéon. Les Époques du théâtre français (1636-1850) (1892)